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Notre client était particulièrement attaché à cet appartement qui appartenait autrefois à ses parents et dans lequel il avait vécu. Propriétaire de très belles pièces de mobilier, il voulait créer un écrin dans lequel, elles seraient mises en valeur", note l'architecte d'intérieur Julia Ouazan.
Faire entrer la lumière
Cet appartement au rez-de-chaussée d'une résidence des années 70 était en bon état mais n'avait pas été rénové depuis plusieurs décennies. Moquettes, tapisseries, salles de bain désuètes... "
Il a fallu moderniser l'ensemble et apporter de la lumière, le mobilier étant bien souvent sombre", indique l'architecte d'intérieur avant d'ajouter "
Dans l'entrée notamment, nous avons particulièrement soigné l'éclairage et opté pour une peinture claire pour faire ressortir le banc Moustache ou encore le meuble de Jean Pascaud, datant des années 35-40. Au sol, nous avons aussi opté pour un parquet en chêne blanchi, toujours pour accentuer la luminosité des pièces."
De belles associations de matériaux
Dans toutes les pièces de l'appartement, Julia Ouazan a joué sur les matières avec du carrelage texturé dans les salles de bain, un papier peint effet textile ou tableau dans les chambres, du noyer, etc. "
Sur l'îlot et les éléments hauts de la cuisine nous avons utilisé un revêtement Oberflex cuivré qui apporte du caractère et reflète la lumière", souligne l'architecte d'intérieur.
Fiche technique :
Superficie : 110 m2
Livraison : 2022
Durée des travaux : 6 mois
Coût des travaux : 180.000 € HT (mobilier compris)
Avant : Une grande entrée mal exploitée
Avant : Une grande entrée mal exploitée © Atelier JOI
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L'entrée d'une superficie de 11 m2 était mal exploitée, il y avait bien un placard mais qui n'était pas adapté à cet espace. Le sol était recouvert de moquette", détaille l'architecte d'intérieur Julia Ouazan.
Avant : Une grande entrée mal exploitée
Après : Une entrée lumineuse
Après : Une entrée lumineuse © Romain Hannoun
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Nous avons repeint les murs en blanc, installé un parquet en chêne blanchi. Un placard sur mesure a été réalisé de même qu'un claustra en bois de noyer. Nous avons aussi choisi des appliques Excalibur de Tooy juste au-dessus du meuble des années 35-40 signé Jean Pascaud", indique l'architecte d'intérieur.
Après : Une entrée lumineuse
Avant : Un séjour dans son jus
Avant : Un séjour dans son jus © Atelier JOI
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Le double séjour était indépendant de la cuisine. Ici, encore le sol était recouvert de moquette."
Avant : Un séjour dans son jus
Après : Une élégante pièce de vie
Après : Une élégante pièce de vie © Romain Hannoun
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Nous avons choisi de ne pas abattre le mur porteur entre les deux espaces du séjour. Nous avons aussi installé la cuisine dans cette pièce, l'ancienne cuisine ayant été transformée en bureau. Les meubles de la cuisine en noyer, répondent aux pièces de mobilier comme le meuble Gio Ponti dans le salon. Un tapis a aussi été créé sur mesure, il reprend la forme du canapé Ploum des frères Bourroullec."
Après : Une élégante pièce de vie
Après : Une chambre intimiste
Après : Une chambre intimiste © Romain Hannoun
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Dans la chambre, le client ne voulait pas de tête de lit textile, nous avons donc trouvé ce papier peint texturé. Un claustra mobile, entre le lit et la porte d'entrée vient donner un côté plus intimiste à la chambre et nous a aussi permis de placer la commode Molteni en laque rouge mate, des années 2000", détaille Julia Ouazan.
Après : Une chambre intimiste
Avant : une salle d'eau des années 70
Avant : une salle d'eau des années 70 © Atelier JOI
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Cette salle d'eau avec son petit bac de douche, sa vasque et son carrelage en mosaïques est typique des années 70", poursuit-elle.
Avant : une salle d'eau des années 70
Après : Une salle de bain qui joue sur les textures
Après : Une salle de bain qui joue sur les textures © Romain Hannoun
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Nous avons pu installer une baignoire dans cette ancienne salle d'eau. Une niche a été créée au-dessus de la baignoire où nous avons posé du carrelage texturé, de même sur la baignoire et au-dessus de la vasque où nous avons installé un miroir rétro éclairé pour accentuer l'effet du carrelage", souligne l'architecte d'intérieur.
Après : Une salle de bain qui joue sur les textures
Après : Une chambre à l'épure toute minimaliste
Après : Une chambre à l'épure toute minimaliste © Romain Hannoun
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La seconde chambre est celle de la fille de notre client qui souhaitait quelque chose d'épuré. Nous sommes donc partis sur du blanc et du noir, la tête de lit est une peinture tableau de type ardoise", ajoute Julia Ouazan.
Après : Une chambre à l'épure toute minimaliste
Avant : Une grande salle de bain figée dans le temps
Avant : Une grande salle de bain figée dans le temps © Atelier JOI
La deuxième salle de bain, plus vaste que la première, était tout aussi figée dans le temps avec son carrelage sur les deux tiers des murs, son bidet et sa vasque d'époque.
Avant : Une grande salle de bain figée dans le temps
Après : Une douche avec son propre banc
Après : Une douche avec son propre banc © Romain Hannoun
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Nous avons transformé cette salle de bain en salle d'eau avec une grande douche qui dispose d'un banc. Nous avons joué sur les textures avec un carrelage anthracite strié de chez CasaLux et le carrelage Kit Kat dans les teintes de bleu et de vert", conclut-elle.
Après : Une douche avec son propre banc
