CLIMAT. Avec le réchauffement climatique, les biens immobiliers exposés au retrait-gonflement d'argile augmente. Pour faire face à cette problématique, des mesures concrètes sont attendues du troisième plan d'adaptation de la France au changement climatique (PNAAC) en cours d'élaboration.
FISCALITÉ. La loi de finances pour 2024 prolonge la réduction d'impôt du dispositif Denormandie jusqu'au 31 décembre 2026. Destiné à encourager la rénovation de logements anciens voués à être loués, ce dispositif prend la forme d'une réduction d'impôt. Maison à part fait le point sur le sujet.
LOGEMENT. Le service de la Ville de Paris dédié à l'encadrement des loyers a dressé le bilan de sa première année de gestion du dispositif. Plus d'un millier de dossiers de signalements ont été déposés.
ÉNERGIE. Dimanche 21 janvier, Bruno Le Maire, le ministre de l'Économie, a annoncé une hausse des prix de l'électricité. Quel sera le montant de cette augmentation ? Pourquoi cette hausse ? Maison à part fait le point sur le sujet.
CRÉDIT . L'Observatoire CSA/Crédit immobilier table sur un taux moyen des crédits immobiliers de 3,60% en 2024 et 3,25% au quatrième trimestre. Le redémarrage de la production de crédits pourrait alors relancer l'activité des marchés immobiliers.
IMMOBILIER. Dans la métropole lilloise, un projet de résidence destiné aux personnes âgées vient de voir le jour.
IMMOBILIER. La part de logements inhabités a considérablement augmenté en France ces 30 dernières années.
IMMOBILIER. Prix d'achat, taux d'intérêt... Pour les Français, le principal problème de l'immobilier reste son coût trop élevé, selon un sondage. 2023 a été une "annus horribilis". Et pour 2024, une majorité de Français anticipent une nouvelle dégradation de la situation.
ASSURANCE . Résiliation à tout moment du contrat d'assurance, suppression du questionnaire santé pour une partie des emprunteurs... Le Comité consultatif du secteur financier (CCSF) dresse un bilan des conséquences de la loi Lemoine 2022 pour les assurés comme les assureurs.
CONJONCTURE. Malgré une chute des transactions dans l'immobilier ancien, les vendeurs sont encore réticents à consentir des baisses de prix. Le marché a donc logiquement commencé à se bloquer en 2023 et les professionnels considèrent que tous les leviers ont déjà été poussés au maximum pour 2024.
